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27. VI. 1951
A Madame Jourdan-Morhange
Ma-Moune
Nous craignons bien que ce ne soit ta pauvre amie Françoise Meyer de qui le Figaro ait annoncé la triste fin... Si nous nous trompions dis-le moi.
Nous rentrerons le 7. Et toi ?
Toujours très vives souffrances. Ca m'ennuie pour Maurice. Il se donne tant de souci pour moi...
Tendresses, ma-Moune. Ceci n'est pas une lettre !
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